Sunday, November 30, 2014

Partie pour 8 mois...

Elle rentra après 51 jours.
    De qui parle-t'on ? et bien de moi crénom ! et j'ai les boules ... de Noël ...  LOL !
    Et oui, me voilà dans un drôle d'imbroglio administratif et je deviens persona non grata, ou plutôt "gratte le fond de tes poches et paie pour 'régulariser' " de manière que l'on ne fera pas. Foutu gens, qui ne savent pas jouer la même partition à l'Ambassade du Moz à Paris et ici à Maputo. L'avocat a dit que je devais prendre un visa touriste pour venir ici, de même qu'à l'Ambassade et voilà que celui-ci n'est plus accepté pour obtenir le permis de résident et qu'il faut un visa accompagnant qui ne peux s'obtenir qu'en France.


    Comment l'a-t'on découvert ? Je commence l'épopée depuis le début.
-  Demande de visa auprès de l'Ambassade du Mozambique à Paris (Forts aimables et accommodant vu que je n'ai pas eu besoin de remonter à nouveau sur la capitale). Kruger nous tendant les bras, nous optons pour un visa de 3 mois à entrées multiples (€ 125 the pop) ! On peut effectivement lire sur le passeport que le visa est pelo período de 90 noventa  dias a partir da data de entrada. Arrivée le 18 j'avais une validité jausqu'au 18 décembre... nous somes d'accord.
-  Séjour en octobre à Kruger sans souci à la frontière.
-  2nd séjour les 9-10 au Swaziland (patience je travaille sur l'article, mais avec les cours de portugais et ma rapidité légendaire, je suis complètement dépassée. Super week-end à refaire!). Bon je continue. A l'aller frontière passée en 20 min. Au retour, la douanière dit que mon visa n'est plus valable. On lui explique que j'en ai un pour 3 meses mutiplo, mais elle va chercher un collègue qui quoi que semblant comprendre l'anglais se fait un malin plaisir de nous répéter que mon visa a expiré, que j'aurai du rentrer hier (jour de ma sortie !!!) et que je dois payer à nouveau € 60 pour un visa. Pas le choix et au bout d'une heure j'ai un nouveau papier sur mon passeport, d'une validité d'un mois (sans sortie-entrée).



  - Nous avons une réservation à Kruger les 5-6 et 7 décembre, vite nous allons finaliser les papiers de résidence et j'aurai un Dire (certificat de résidence pour les étrangers) qui me mettra en règle. Pourquoi ne pas avoir fait les démarches avant me direz-vous ? et bien parce qu'ils n'avaient pas dit que j'aurai besoin d'un certificat de mariage et d'un casier judiciaire et qu'il a fallu les demander en France puis les recevoir par DHL. Encore un coup de € 113 et quelques semaines de perdues. S'embêtent pas les mecs !
- Rdz-vs au département de l'immigration. Il fait super chaud et c'est super bondé du coup j'attend dans la voiture qu'Esperanza fasse les démarche. Au bout de 2 h ... J'EN PEUX PLUS ! ... elle revient pour dire qu'avec ce type de visa on ne peux faire les documents de résidence.
-  Tourne et retourne, il n'y a pas d'autre solution que de rentrer et refaire le dossier. Un ami a fait ses documents à Nielspruit en Afrique du Sud et s'est vu refusé leur validité. Sa femme s'est retrouvé avec 2 mois expirant alors qu'elle avait payé pour 3 (comme moi l'on s'est aperçu). Du coup ils sont rentrés en urgence pour une huitaine de jours. Obtenir des documents ici, en payant, ce n'est pas dans notre éthique et on ne joue pas avec le feu. Rien n'était précipité vu que j'ai eu 4 mois en France mais les dissonances administratives mozambicaines semblent affecter plus de monde que l'on croit.
   Un ami s'est vu refusé un papiers certifié sous prétexte que le tampon n'était pas assez gros donc surement faux ! Il a eu la présence d'esprit de se rappeler qu'il avait ce même document avec un gros tampon d'une administration, mais périmé. Il l'a montré et l'officier satisfait a validité sa requête.
-  Après une grosse contrariété, il faut voir le bon côté de la chose avec une rentrée pour voir la famille et surtout passer un Noël avec les enfants qui rentrent respectivement d'Angleterre et du Canada pour les fêtes. Youpi, je récupérerai ma machine à pain et m'offrirai une machine à yaourt par la même.
   Plus que 8 jours, France j'arrive !

Friday, November 28, 2014

Filaos à pieds


La marée fait son travaille de sape et met les pieds des filaos à nu. Une mort annoncée !

Wednesday, November 26, 2014

Le Malin visite Maputo


     Trop cool, un bateau de la marine française accoste pour 1 semaine à Maputo et les français sont invités s'ils le désirent à le visiter. Le Malin, un patrouilleur, qui a son port d'attache à la Réunion, navigue dans les TAF Terres Australes Françaises, et fait parfois escale dans des ports d'autres pays. Dans le cadre de leur travail, les militaires, participent à la formation des militaires locaux. 
 

     Nous étions en petits groupes réduits vu que 2 jours avant la visite il a été signalé que les autorités mozambicaines ne voulaient pas de moins de 18 ans.  
    Le navire bâtait pavillon mozambicain tout en gardant, bien sur, le drapeau français car quand ils entrent dans des eaux territoriales ils doivent mettre le "drapeau de complaisance". N'ayant qu'un seul moteur, il n'est pas fait pour les zones australes trop agitées et reste donc dans la bande océan indien du nord de Madagascar (Comores) aux Mascareignes (Réunion, Maurice, Rodrigues) en passant passant par le canal du Mozambique où la France a plusieurs ilots (Europa, Juan de Nova) depuis la fin du 19ème s. qui lui attribuent une grande zone de pêche à protéger.


     Nous sommes allés du ponton, au centre de commande où les cartes de l'arrivée sur Maputo sont étalées et les info marquées sur la vitre. Un canapé trône en bonne place. Ce qui est une rare exception dans la marine ! et oui, ce bateau avant de devenir patrouilleur a eu une autre vie et pas des plus recommandable. Il faisait partie d'une série de 12 palengriers construits en Norvège et mis à flot en 1997. 


     Caroline Glacial concu pour les mers de glace, semble avoir servi principalement à la contrebande de même que ses "soeurs" Christina G., Alida G. et Aliza Glacial saisies par les australiens. Il a eu plusieurs propriétaires et début 2004 bâtait pavillon du Honduras et se nommait Apache. En juin 2004 le bateau est arraisonné par le patrouilleur austral Albatros non sans difficultés vu qu'il a fallu plusieurs requêtes rejetées par le capitaine, suivies après autorisation par le préfet de la Réunion, de coup de semonces. L'Apache obtempère et dans les cales sont trouvées 60 tonnes de légine pêchée illégalement. 
    Contrairement aux bateaux-poubelles des années 80, ce bateau est très bien équipé et en parfait état. Les lois ayant enfin changé, les amendes de milliers de francs passent à dizaines de milliers  d'Euros ce qui fait que l'armateur se doit d'abandonner le navire. La marine Nationale le réhabilite pour un usage adapté. Rouge et blanc lors de la saisie, il sera repeint non en gris de la flotte armée mais en blanc, couleur qui se fond mieux sur les mers quand il s'agit de chasser les contrevenants. Lui seront ajouté 2 mitrailleuses Browning M2, plusieurs AANF1 (pour les initiés) et de l'armement individuel.
    Son nouveau nom, Le malin, est donné, en souvenir du contre-torpilleur qui s'illustra durant la seconde guerre mondiale et en Indochine. Comme ce dernier a reçu la croix de guerre, logiquement le drapeau de la croix de Malte s'affiche à l'avant de ce patrouilleur-ci.


     L'équipage composé uniquement de militaires comprend 25 hommes réparties en 2 zones spécialisés et machines. Chacun travaille de quart sauf cas particuliers (approche de côte, zone délicate, préparation à la navigation..) où chacun est "sur le pont". En plus des quartiers privés des salles des machines, il y a une mini salle de gym car les missions sont souvent d'au moins 7 semaines. Comme ce bateau avait d'immenses cales, 100 lits d'appoints y sont entreposé, de même que des stocks en cas d'évacuation éventuelle de ressortissants. 
    2 jours plus tard, nous fumes conviés à un cocktail à la Résidence de France organisé par l'équipage du Malin. Tout était top, vraiment !
Port de Maputo 4 Nov. 2014 

Monday, November 24, 2014

Moth in Moz



Ce papillon se repose sur notre terrasse en plein jour et en pleine luminosité. Très beau !

Saturday, November 22, 2014

"Dis-moi ma fille ..."

"Oui maman chérie"
"Un baobab cela n'a pas de feuilles ?"


    Et bien si, le baobab développe ses feuilles en court de saison sèche, mais comme il est nettement moins reconnaissable et majestueux, jamais personne ne le représente comme cela. Celui-ci était très gros et très vert en ce mois de novembre au parc Kruger.
  " Encore trop méconnu, le baobab a d'excellentes vertus, aucune excuses pour s'en priver. On trouve : acides aminés, glucose, fructose, amidon, minéraux (dont 3 fois plus de calcium que dans le lait), phosphore, fer, potassium, magnésium, manganèse, zinc et bien d'autres nutriments. On trouve aussi de nombreuses vitamines : A, B6, C, PP et des fibres alimentaires. On peut penser à la poudre de baobab d'une manière plus "thérapeutique" pour soulager les troubles du transit intestinal (diarrhées ou constipations). Son action anti-inflammatoire est utile pour accompagner les traitements médicaux de certaines maladies rhumatismales (arthrose, arthrite) par l'apports de micro-nutriments et d'acides aminés. Des scientifiques font également mention de son usage dans la prévention du vieillissement (antioxydant naturel puissant. C'est le fruit le plus riche en antioxydants, 2 fois plus que les baies de goji), pour accompagner un diabète, des affections respiratoires, des maladies cardio-vasculaires et neurodegénératives voir auto-immunes."
" Les vertus permettent de réduire la fatigue, renforcer le système immunitaire, d'assainir la peau, de faciliter la digestion et de fixer le collagène."

Te voilà pleinement informée :) Maman, je t'aime <3 ♡♡♡


     Ici, voici bébé Baobab que nous avions planté à Ouaga en avril. Mon amie Françoise vient de m'envoyer une photo. Il profite bien mais je constate qu'il a gardé ce déséquilibre de pousse en ayant une branche de droite, celle que je "caressais" tous les jours en passant, bien plus développée que le côté gauche. Transmission d'énergie non réservée aux personnes. Le reiki a son efficacité ☺. D'ailleurs ayant constaté que la branche que je touchais comme cela développait des feuilles alors que le reste était nu, j'avais commencé à en toucher une autre aussi pour confirmer ce que je constatais dans ce développement. Cela semblait se révéler efficace, mais étant partie mi-mai l'expérience n'a été que de courte durée.

Thursday, November 20, 2014

Un feu dans le ciel


   Le ciel, qui la veille explosait d'éclairs entre les nuages au loin, nous a offert ces couleurs sombres soutenues, magnifiques le lendemain. Voici notre vue samedi à 18h21. Ceci pouvait laisser présager l'orage terrible de la nuit vers 4 h du mat avec ses éclairs illuminants à des kilomètres à la ronde et un tonnerre assourdissant faisant trembler les bâtiments. Vraiment impressionnant !

Tuesday, November 18, 2014

Jay's à Macaneta




     On aime bien Jay's car on mange plutôt pas mal et c'est servi rapidement. Soit, ils pourraient retirer crevettes et langoustes un peu plus tôt du feu car ici ils ont tendances à sur-cuire ce qui élastifie ces crustacés. 
    Le fait d'avoir toilettes et douches est un bon point. Notre prof de portugais y a passé le week-end dernier et a bien apprécié aussi les cases pour loger. 


     Au retour nous avons croisé un groupe de zébu avec un mastodonte de mâle !
Le bac nous a donné un coup de chaud car  nous l'avons attendu une bonne 1/2 h (pour 8 min de traversée) en plein cagnard... quoi qu'à l'abri dans notre véhicule. Une fois sur notre rive, le marin-mécano a plongé son nez dans les moteurs pour n'en ressortir que 25 minutes plus tard. "Démarre, démarre pas" tel fut la question. Sachant que de devoir faire le détour pour rentrer de cette presqu'île prend 6 ou 7 h vous comprendrez le désenchantement ! Au final nous avons pu passer et être de retour chez nous en fin d'après-midi tout colorés ... bien rosi pour Pascal de notre journée à la plage.
Macaneta 2 nov 2014

Sunday, November 16, 2014

Pêcheurs à Macaneta

     Nous sommes retournés à Macaneta, plage 'déserte', pour un dimanche avec nos amis/voisins. C'est sympa de partager nos découvertes et leur éviter de chercher cette route pas vraiment indiquée. Nous avions bien dit : "Vous verrez la plage est déserte, hormis quelques pêcheurs un moment". Nous sommes arrivés et sur la partie gauche, c'était bondé de monde. Nous avons vite réalisés que les pêcheurs et d'ailleurs tout le village était de la partie.


      D'ailleurs ce doit être la saison d'une certaine espèce de petits poissons car en venant il y avait des étendages emplis de petites choses grises brillantes.
 

    Les hommes sont les marins-pêcheurs et les femmes de tous âges remportaient des cuvettes ou sacs pleins de leur pêche. Cela paraissait super lourd !


     Pour s'amuser, découvrir et aider en même temps, nous avons mis la main à la pâte pour tirer le filet hors de l'eau. L'action prend bien vingt minutes vu sa longueur et le poids. J'ai fait 2 montées et cela m'a bien coupé les pattes :)  Eux inlassablement agrippent la corde et tirent. Une fois en haut, ils lâchent et redescendent pour reprendre leur place et tirer à nouveau. Costauds les gars !


Les 2 extremités du filet sont d'abords tirées éloignées l'une de l'autre puis vers la fin les 2 parties se rejoignent et tout le monde tire. Ce qui paraissait au final un "misérable" petit filet


s'est avéré bien rempli. 


      Le poisson est mené sur la plage pour être triés car il y avait une espèce dominante 


    mais aussi quelques poulpes, calamars et autres petits poissons (ronds avec des points ou allongés avec la queue jaune).


     L'effort collectif se fait à tous les niveaux, sortir le bateau et le mettre à l'abri, rentrer les filets... Une fois les poissons triés, ils les remettent dans les caisses qui semblent leur servir de mesure puis deversent dans les sacs ou cuvettes des femmes qui amèneront leur cargaison à la maison.


Les mômes ramassaient eux aussi les poissons échappés du filet ou des transvasement énergétiques. Tout cela dans la bonne humeur !


Au retour nous nous sommes arrêtés et j'ai demandé si je pouvais prendre cette grande lignée de poissons séchant.


Ce qui est drôle c'est que sur l'étendage ces petits poissons argentés côtoient le linge !
2 nov 2014. 1h30 au nord de Maputo

Friday, November 14, 2014

Flore : La Cycade


 C'est chouette cet enchevêtrement rouge. Mais qu'est ce donc ?


     Une Cycade. Plante endémique des pays tropicaux dont l'origine remonte à des millénaires la Cycade n'en est pas moins une espèce en danger car l'objet de trafics. Plante à croissance lente mais à durée de vie pouvant dépasser les mille ans, elle est ramassée en masse dans son environnement naturel et exportée illégalement en Chine, dixit un expert local.
    il précisé que celle-ci est une encéphalartus lebomboensis femelle d'une bonne cinquantaine d'année. "Un beau spécimen" selon ses dires. 
    Toutes les plantes de la famille des cycades sont toxique pour les animaux car contenant de la cystacine un neurotoxique qui en autre détruit le foie.
Macaneta, Jay's lodge 25 sept 2014

Wednesday, November 12, 2014

Des frigo spéciaux


   Ici on trouve de tout, même de l'original comme ces frigo créés dans une vrai Mini ou colorés façon blue jean !

Monday, November 10, 2014

Sortie culturelle : Butcheca


     Le 2 ème artiste que j'ai rencontré dans son atelier à Maputo est Moisés Mafuiane Butcheca. Né en 1978, il s'est formé seul et s'est réellement impliqué dans la peinture au début des années 90. En 97 Il rejoint l'association "Núcleo de Arte" basée non loin de l'hôtel. Cette organisation à vocation culturelle vise à la valorisation et au développement des arts plastiques. C'est tant un lieu d'exposition que des ateliers de travail pour ceux qui le souhaitent.


    Butcheca peint des toiles très typées, et on reconnait assez vite son style. Il utilise l'acrylique et le fusain en alternance ce qui donne un léger relief. Sa 1 ère expo individuelle a eu lieu en 2002 au Mozambique, et en 2003 il est allé passer quelques années au Portugal. Il a exposé à Lisbonne en 2010, mais aussi en Allemagne et au Japon où il est allé plusieurs fois.


    Il a choisit de varier son activité pour ne pas tomber dans une routine ennuyeuse et cela fait quelques temps qu'il travail sur des "sculptures".


    Il utilise le fil de fer pour la structure, les canettes pour ce poisson géant mais aussi de la paille de roseau mélangée à de la farine de blé et de la colle pour éviter que les bêtes ne les mangent. Ces pièces serviront pour une exposition prévue pour l'an prochain.


    Un énorme poisson à deux pattes, sorti pensais-je, de son imagination, trônait aussi dans la cour. Accroché à un tableau sur une feuille, l'on pouvait voir la projection de ses idées avec ce dessin de tête de je ne sais quoi à une jambe. En fait, en cherchant plus d'info sur lui, je me suis aperçue qu'en fait déjà des années en arrière il avait croqué et même peint cette drôle de bête qui existe belle et bien. Soit, elle a 4 pattes, mais quand je l'ai vu j'ai compris ce qu'il voulait représenter et j'ai regretté de ne pas avoir poser plus de question sur sa démarche. Quand on rencontre les personnes, on a la chance d'avoir des renseignements sur leur démarche, leur pensée dans une création et non une interprétation que l'on se fait soit même et moi j'aime cent fois mieux cette approche qui me rabiboche avec "l'art".


   Je vous présente le Pangolin, animal qui vit réellement dans ces contrées mais qui est plutôt en voie de disparition car très chassé pour sa viande réputée. Il en existe 4 espèces en Afrique et 4 espèces en Asie. (Manis temminchii pour l'Afrique du sud et le Moz). Ce n'est pas un animal vu dans les zoos car il ne survit pas à la captivité et meurt dans les 6 mois. Seul à Taipei, ont-t'il réussi à l'élever et le faire se reproduire.
   Pierre Desproges : "Le pangolin ressemble à un artichaut à l'envers avec des pattes, prolongé d'une queue à la vue de laquelle on se prend en effet à penser que le ridicule ne tue plus."
   Philippe Geluck fait dire à son Chat : "Pangolin n.m. Poisson triste de la mer Morte. Pourquoi est-t'il triste ? Et bien ! parce que sa mer est morte"
   Cela confirme la vision un peu poisson de la sculpture. En tous les cas cherchez dans Africa Geographic, ils ont de magnifiques photo de ce sympathique animal. Il y en a à Kruger, mais vu qu'il est plutôt nocturne je ne lève pas mes espoirs trop hauts pour l'observer dans son milieu naturel.

Sunday, November 9, 2014

"Ein prosit, ein prosit.."


     Dans le jardim dos professores, on se prépare pour la fête de la bière. Celle-ci va couler du saxo pour le verre de bienvenue que l'on gardera. Les musiciens, des vrais de vrai de Bavière, ont passé 6 jours à l'hôtel pour ces 2 soirées.


Super ambiance et soirée bien sympa. Prost !

Saturday, November 8, 2014

Révision en gros plan

Un petit jeu pour voir si vous avez bien observé la nature de Kruger. A qui appartient le gros plan ? les 1 ers sont facile, fastoche dirai-je, mais qu'en est-t'il des 3 ou 4 derniers ?










Solução : - Eléphant d'Afrique - Girafe - Python - Tortue lépoard - Choucador ... sous deux angles lumineux - Impala - Babouin et Ecorce d'Acacia.

Thursday, November 6, 2014

Méduses et étoiles


     Les masses transparentes bleutées ne sont autre que des méduses prises dans les filets et que les pêcheurs ont abandonné sur la plage. 


    Ce translucide et surtout selon la luminosité l'intensité du bleu m'ont attiré. En y regardant de plus près On aurait dit qu'il y avait des inclusions d'étoiles de mer dans chacune d'elles.


    Etait-ce la réserve de repas ou ces 2 êtres vivent t'ils en symbiose ? Aucune idée. On nous a dit que ces méduses n'étaient pas urticantes. N'y connaissant rien, on évitera cependant d'y mettre la main dessus.
Plage de Macaneta 25 sept 2014