Saturday, February 28, 2015

Swazi c'est fini


     Cet hôtel nous a bien plu. On se sentait "à la maison" et l'on y reviendra certainement s'y reposer à nouveau. De "notre" terrasse on pouvait voir les singes vervet en famille.


Les jardins sont grands et magnifiques et l'on a y vu une grande variété de fleurs.


Le long de la route on a pu apercevoir de belles propriété, côté plus opulent de vie qu'au Moz.


De grands arbres au dessus d'un peu d'eau et la vie s'installe.


     Une fois la frontière de Namaacha passée, on retrouve "le pays où le temps s'est arrêté". Dommage car il y a vraiment de beaux bâtiments ici. Nous passons sur la route principale, et ne traversons pas le village. L'envie y était d'aller y faire un tour un de ces jours mais l'Ambassade nous a envoyé un courriel récemment signalant 2 agressions au niveau des cascades (celle vues le 10 janvier) toutes proches et nous avisant fortement de ne pas y aller. Nous nous abstiendrons de sortir des sentiers battus. Ne tentons pas le diable ! 
     Un week-end parfait sans aucun souci, si ce n'est la perte de ma pochette d'appareil photo ce qui m'handicape pour le protéger d'autant qu'il souffre assez entre la chaleur et la poussière. La durée de vie ne dépasse souvent pas les 2 ans dans ces pays ! Enfin, ceci est une anecdote. 
      Plus grave, pas pour nous, est l'expérience d'amis qui ont aussi choisi le Swaziland pour leur week-end mais dans la réserve Mbuluzi, toute proche de la frontière avec le Mozambique, en pleine nature parmi les animaux, tellement parmi qu'ils ont été envahi de tiques. Quasi tous en ont eu en plus ou moins grande quantité, résultant en boutons se sur-infectants pour l'un, 40 de fièvre 3 jours durant pour une second, des céphalées et une hospitalisation de 24 h pour un troisième. Tiens que les gars ont "ramassé" c'est étrange ! Pas réjouissant tout cela. Bon les cachets ont fini par faire effet et tout est rentré dans l'ordre. On sait que c'est la nature, mais tout de même c'est anormal dans le campement même de se retrouver par 34˚ à se couvrir de pied en cap et à s'épouiller constamment. Pas cool du tout !  Pas leur meilleur souvenir de sortie c'est sur, nous, on évitera ce genre d'endroit en saison dite "humide" où les bébettes prolifèrent encore plus. D'ailleurs on évitera tout court l'endroit, c'est décidé, cela n'en vaut pas le risque. 
25 jan 2015

Thursday, February 26, 2015

Tuesday, February 24, 2015

Golf au Royal Swazi


    Nous avons décidé vu la chaleur de répartir le 18 trous en 2 jours. 1 à 9 samedi dès 8h00 du mat. Quel superbe espace, je n'imaginais pas que l'on puisse trouver d'aussi beaux golfs par ici. Pascal me dit que dans cette partie du monde il y a de grands amateurs de ce sport. J'ai été fascinée par leur présentation du parcours. Chaque trou est sculpté sur une tablette en bois. Très chouette. Les autres devraient en prendre de la graine car cela fait très classe. De plus quand on ne connait pas le parcours, c'est très explicite.










     Dimanche matin rebelote, mais du 10 au 18. Pas de pressions car parcours calme. Et oui, Roo est venu avec nous. Merci Célia, c'est un peu de vous que l'on emmène à chaque fois. Merci la voiturette car les distances sont assez importantes et l'on a eu de bonnes grimpettes. On s'est régalés !
24/25 jan 2015 Royal Swazi hotel and golf, Elzulwini 

Sunday, February 22, 2015

Royal Swazi Hotel and Spa


     Pour notre sortie de janvier nous avons choisi d'aller au Swaziland et n'en "pas bouger" 3 jours et 2 nuits. Nous avons choisi le Royal Swazi pour le golf, mais le jour de notre arrivée n'avons pu résister à l'appel des courts et avons joué au tennis un bon moment. La nuit tombante nous en a chassé. Quel régal ! Depuis Ouaga nous n'avions plus eu l'occasion d'échanger et l'on a eu une pensée pour nos partenaire du club du vendredi 17h". "Miss you Tully and Farat"


Nous avons eu droit à une belle suite dans un bâtiment faisant face à la nature. 


Un accueil fort sympa avec fruits secs et frais plus une bouteille. "Let the holidays begin !"


Et oui, Roo s'est glissé dans nos bagages et à droit à son instant luxe.


    L'espace Spa est très agréable et nous y avons vite réservé nos massages. En fait il semble y avoir pas mal de salles et de personnel donc une résa de dernière minute est envisageable. Le Spa ouvre sur la nature, le terrain de golf et les montagnes environnantes. Un espace zen où l'on a envie de se relaxer en ... rien faisant :) Si j'y retourne je planifierai le coiffeur car pour un hôtel 4 étoiles, ils pratiquent des tarifs engageants et moindre qu'à Maputo dans un salon tout simple.
    Pour certaines occasions, il y a un espace extérieure pour faire la fête avec un arbre immense. D'ailleurs il y en a plusieurs sur la propriété de ces majestés de moult dizaines d'années.


     On a super bien dormi sans clim ce qui permet de vraiment récupérer de la fatigue de la vie courante de ces mois d'été chauds et humides. Au petit matin la brume recouvrait le décor mais ne tardait pas à s'évaporer dès le lever du soleil.


     Sur le parcours de golf, on a dérangé un couple de canard dendrocygne veuf (Dendrocygna viduata - White-faced whistling duck). Obviously not veuf ! LOL. Il se nourrit plutôt la nuit et son nid est souvent situé à terre. On a du passer trop près sans le voir. Quoi que sédentaire, il peut effectuer de grands déplacements en cas de sécheresse. Je pense que notre couple n'a rien a craindre de ce coté-ci avec tous les points d'eau sur le parcours.

Friday, February 20, 2015

Une visite de Ouaga


    Son boulot a amené Maude à Maputo et nous nous en avons profité pour diner ensemble et "parler du bon vieux temps à Ouaga". Merci pour le bissap et on se reverra peut-être à nouveau ici ou ailleurs.

Wednesday, February 18, 2015

Nos Salades du jour



    Cela fait envie n'est-ce pas ? Et bien c'est ce que propose le chef le midi. Depuis son arrivée, fin juin, Pascal a demandé au chef (là depuis une quinzaine d'années!) de lui faire des salades diverses et colorées. J'en savoure les différents gouts régulièrement le midi et je dois dire qu'il s'éclate bien notre chef. Maintenant à lui de transmettre au personnel cet art de l'assemblage et d'en faire profiter les clients aussi dans la nouvelle carte du bar. Nous on continue à être les premiers aficionados.







    Je suis d'autant plus ravie que pour la maison je n'achète pas de salades de peur d'une intoxication alimentaire. A l'hôtel ils sont équipés et lavent comme il faut, moi je crains qu'à la maison je ne puisse désinfecter correctement la salade achetée au stand ou à la vendeuse de rue qui ne s'est certainement pas lavée les mains. Au supermarché ? Ouais, bof les produits "ne vous font pas toujours de l'oeil". Je suis peut-être fussy mais j'ai la hantise d'une gastro ici. Nombreux sont ceux qui en ont. On y échappe en mangeant au Cardoso ou chez nous la cuisine que l'on prépare nous-même. Pas de soucis so far lors de nos quelques sorties, ouf ! Ici, on ne fera pas dans la nourriture de rue c'est sur.

Monday, February 16, 2015

Rollier à long brin



J'adore cet oiseau ! ... quoi qu'en vol son cousin à ventre bleu le surpasse par ses couleurs.

Saturday, February 14, 2015

Macaneta

   
    Ben mince alors, ils nous ont encore changé la route. Les chinois ont pour objectif de faire une route pas vraiment de s'occuper de savoir où vont passer les voitures en attendant. C'est pour cela que chaque fois on a un parcours différent .... pas indiqué bien sur !




     Du coup au lieu de rejoindre la nouvelle route en construction, on traverse à nouveau le village des pêcheurs. Surprise, il n'a pas particulièrement plu les jours précédents pourtant il y a d'énormes trous de gadoue. Une solution si l'on ne veut pas y rester : arriver tranquille puis accélérer un bon coup pour ne pas s'embourber. Le souci est quand il y a des piétons en vicinité, oops ! Lundi, c'est le chauffeur qui va se demander ce que l'on peut bien faire les week-end pour lui ramener un voiture dans un tel état.


     Cette fois plus de traversée avec la voiture. Nous avons téléphoné à J'ay's, sommes passés en piétons (4 met,  € 0,10) et avons bénéficié de leur navette. Top, une excellente solution. La plage est très calme de ce côté c'est reposant, très reposant. Luc était avec nous ce qui est sympa. Il est arrivé il y a 2 mois et sa femme ne saurait tarder. Encore de nouveaux amis !


Oh qu'il est beau. C'est mon Bond à moi !


Pas de tout repos les vagues ce jour-là, impressionnantes même !


    A la fois c'est amusant et un peu effrayant ces murs d'eau. Le truc est de piquer une tête dans la vague avant qu'elle ne casse. Une fois le rouleau formé mieux vaut bien se camper sur ses pieds sinon on est brinquebalé façon machine à laver. Cela ne dure pas, mais pas sur que l'on ressorte tout habillé LOL.


       Les pêcheurs n'ont pas d'autres choix que de passer cette "barrière" car cela semble être un constante sur cette côte. J'espère qu'ils savent tous nager.


     Au retour, pas d'attente dans la file, on prend le bac dès qu'il arrive. Etant à marée haute, la 1ère voiture a du attendre qu'un plus gros véhicule fasse le poids ... Un 4x4 ? ... et bien non ce sera un tracteur. Retour chez nous pour 16h c'est une première. C'est décidé, nous adoptons le passage "à pied". Cette option semble populaire car on a pu voir tous les véhicules des différents restaurants/lodges attendre puis ramener leurs clients.
Macaneta 18 jan 2015

Thursday, February 12, 2015

Et pendant ce temps là ... à Ottawa


     La neige est bien installée. Entre Anton-emmanuel et nous le différentiel passe fréquemment les 50˚. Quel beau lieu de travail que le parlement sur sa "colline". Il est majestueux !


Ce sont par moments des mètres de neige qui recouvrent la ville.


Le canal long de 7km fait les joies des patineurs... quand il ne fait pas trop froid pour en profiter.


Le froid fait ses dessins et sculptures. Magique !
Janvier à Ottawa - Ontario - Canada

Tuesday, February 10, 2015

Euplectes orix ... un évêque rouge et noir


       Pendant que chacun donne son avis sur "passe - passera pas" sur le pont qui s'effondre au milieu des champs de cannes, moi, j'observe la nature et surtout essaie de capturer dans ma mémoire et dans mon objectif les beautés offertes. Et là quelle beauté que cet Euplectes orix (Southern red bishop) ! Petit oiseau de 10-15 cm avec un bec conique costaud l'"évêque" mâle se pare en saison de reproduction d'un rouge scarlet et noir profond. La femelle reste toute l'année en habit brun marbré avec un ventre plus clair. Orix vient du latin Oryza (riz) en référence à sa nourriture composée essentiellement de grains (grains) et graines (seeds).
    Selon le moment et l'éclairage, j'ai eu cet oiseau sous différents angles de couleur. 


     En début de saison reproductive il vit proche de l'eau dans les grandes herbes et les cultures comme ici les cannes à sucre. Il construit plusieurs nids dans les roseaux pour attirer les femelles. Il peut en avoir jusqu'à 7 ! La femelle y pondra de 2 à 4 oeufs. 
     Sa parade consiste à voler avec les plumes très ébouriffées. J'ai du le prendre juste après une parade que je n'avais pas remarqué car sur les premières photos on dirait un juvénile tout fluffy. 


     Le côté surprenant est que c'est la première fois que je pouvais m'approcher d'un oiseau "sauvage" de si près. Il n'avait pas l'air effarouché... ou alors il faisait le quéquos une femelle étant alentour il ne voulait pas lui montrer qu'il avait peur LOL.
    Hors saison de reproduction il s'éloigne volontiers de l'eau pour aller dans la savane plus sèche.
Nord de Macaneta 11 jan 2015